Trans* en Iran : jurisprudence médicale et pratiques sociales en matière de changement de sexe

Longtemps les législateurs iraniens ont observé le silence sur la compréhension juridique des personnes trans et du changement de sexe, malgré fait que chirurgie sexe a été un sujet débat au sein jurisprudence shi’ite islamique (sh?‘a) depuis demi-siècle. En se fondant Shar?‘a, juristes islamiques d’Iran interprètent comme une opération chirurgicale transformant hommes en femmes ou, dans cas khunsa (hermaphrodites), femme ou homme. Dans cet article, j’explique sources dispositions système iranien relativement aux trans* sont très limitées mesure où ils ne reconnaissent pas statut trans, dépit est admise par juristes. témoigne l’emprunt termes d’origine occidentale tels transgendérisme transsexualité lois iraniennes. Je soutiens donc n’a capable d’envisager qu’en relation avec médical. C’est seulement cette manière qu’elle peut prononcer question selon Shar?‘a. Durant dernière décennie, Iran étudié perspective médicale autrement dit fiqh pizishk?. Il s’agit d’un domaine recherche récent shi’ite, étudient questions médicales nouvelles sous l’angle leur entreprise médicale, concentrent chirurgie, celle-ci ayant conséquences sociales légales mariage avant après l’opération. tant source autorisée savoir part principe ce terme désigne personne qui subit opposition homosexuelle n’y recours. montre article comment l’auto-identification conception genre iraniennes découlent perceptions juridiques, me quelques-uns 42 entretiens j’ai menés chirurgiens, militants, avocats ainsi qu’un membre clergé Iran.